VISITE SUR RENDEZ-VOUS
    VISITE SUR RENDEZ-VOUS
    Restez informé-e

    Toute l'actualité de la Galerie Glénat dans votre boite mail

     

    Votre panier est vide.

    Réinitialisation du mot de passe

    Un lien permettant de définir un nouveau mot de passe sera envoyé à votre adresse e-mail.

    Liberatore

    Né à Quadri (Italie) en 1953, Tanino Liberatore (de son vrai prénom Gaetano) est un dessinateur légendaire et admiré.
    Artiste précoce, il entre à l’école des Beaux-Arts de Pescara à l’âge de 13 ans. De 1974 à 1978, il conçoit des couvertures de disque pour la RCA (en 1984, il réalisera celle de Frank ZAPPA: The Man From Utopia). À la fin des années 1970, il collabore à plusieurs fanzines dont les fameux « Cannibale » et « Frigidaire » où il rencontre Stefano Tamburini avec qui il crée son fameux personnage cyber-punk Ranxerox. 
    Sa série « RanXerox« , dont le premier épisode est publié en 1981, s’impose dans la culture Pop et révolutionne par son style et ses thématiques. 
    Il s’installe en France en 1982 et travaille ensuite pour le cinéma, collaborant notamment avec Alain Chabat qui co-scénarisera le troisième épisode de Ranx en 1996.
    Si le style fort et unique de « RanXerox » continue de fasciner le public et les artistes, Liberatore surprend en 2007 par la publication de « Lucy, l’espoir », scénarisé par Patrick Norbert. Cet album, exceptionnellement dessiné en numérique, retrace la vie possible de Lucy l’australopithèque. 
    En 2011 il publie deux beaux livres : « Les Onze Mille Verges » (d’après le célèbre texte pornographique de Guillaume Apollinaire) et « Les Femmes », renouant par là même avec ses premières thématiques.
    En 2015, il illustre magistralement « Les fleurs du mal » de Beaudelaire, puis en 2017 paraissent deux ouvrages, un beau livre d’illustrations intitulé « Ranx, Re-incarnation » et un album d’histoires courtes « Petites morts et autres fragments du Chaos ».

    Ses Oeuvres

    LA PRESSE
    EN PARLE

    « Des monstres sacrés exposés à la Galerie Glénat. » LE MONDE

    « Glénat épate la galerie. » ACTUABD