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    Brian Duffy

    Bibliographie :

    Brian Duffy fût une figure centrale dans la révolution visuelle faisant écho aux bouleversements de la société britannique des années 1960. Avec David Bailey et Terence Donovan, il a formé ce qui a été surnommé le « Black Trinity » par Norman Parkinson, le photographe dont le style pastoral semblait incarner tout ce que le jeune trio voulait contester. Si Bailey était le plus créatif d’entre eux, et Donovan le plus amusant, Duffy était le plus provocateur et intellectuel. Leur intention était de remplacer l’Establishment de la mode : les gens qui portaient les vêtements devinrent aussi importants que les vêtements eux-mêmes. Ainsi, les images des magazines ont commencé à refléter une vie plus réelle, plus urbaine que les fantasmes idéalisés d’Irving Penn ou Cecil Beaton. Ces images étaient surtout plus sexualisées. Né en 1933 à Londres de parents irlandais de condition modeste, cet élève dissipé poursuit des études de peinture puis de stylisme au St Martin’s School of Art de Londres. Il débute dans le monde de la mode comme illustrateur pour le Harper’s Bazaar, avant de travailler comme photographe pour Vogue (1957-1963). En tant que photographe de presse indépendant, il se fait surtout connaître pour ses clichés de mode et ses portraits de musiciens (John Lennon, Nina Simone), d’acteurs (Charlton Heston, Brigitte Bardot), d’écrivains (William Burroughs) et de mannequins (Jean Shrimpton, Paulene Stone), qui paraissent dans des magazines (Glamour, Esquire, Elle, Queen) et des quotidiens (The Times, The Observer, The Telegraph). Collaborant 8 ans avec David Bowie, Il conçoit 3 couvertures d’albums dont le portrait pour Aladdin Sane (1973). Brian Duffy œuvre par deux fois pour le calendrier Pirelli en 1965 et 1973. À la fin des années 1960, il produit deux films et participe à des campagnes publicitaires pour  Benson & Hedges en 1977 et Smirnoff en 1978. L’année suivante, il tente sur un coup de tête de brûler toutes ses archives et renonce à la photographie. L’ensemble de son œuvre fait l’objet en 2009 d’une rétrospective à la galerie Chris Beetles à Londres et d’un documentaire produit par la B.B.C., The Man Who Shot the Sixties.

    LA PRESSE
    EN PARLE

    « Des monstres sacrés exposés à la Galerie Glénat. » LE MONDE

    « Glénat épate la galerie. » ACTUABD