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    Ronan Toulhoat
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    Etienne Le Rallic

    Né en 1891 à Rennes, Etienne Le Rallic est encore très jeune lorsqu’il part travailler à Paris; il y débute sa carrière en dessinant pour « Le Rire », puis de nombreuses revues comme « Le Sourire », « Le Petit Illustré Amusant », « Pages Folles ». Après l’interruption de la guerre de 14 où il est blessé à la jambe, il dessine à nouveau pour de nombreuses revues (« Le Régiment », « Fillette », « Le Pélerin », « Le Petit Echo de la Mode »…) et il travaille près de 10 ans pour la revue « Rustica ».
    Il participe également à des revues illustrées pour la jeunesse comme « Lisette » où il collabore durant près de 20 ans (signant parfois Levesque, nom de jeune fille de sa mère) ou « Le Petit Vingtième ».
    En 1930, il débute aux éditions Gordinne et travaille pour les publications Offenstadt (« Fillette », « L’Epatant », « Lili », « L’Intrépide »). A cette même période, il entre à l’Union des Œuvres Catholiques (Fleurus) pour illustrer notamment « Cœurs Vaillants » et « Âmes Vaillantes », tout en poursuivant ses illustrations pour la « Semaine de Suzette » (Gautier-Languereau).
    En 1935, avec la collaboration de Marijac, il sort son premier album aux éditions Gordinne: « Flic et Piaff ».
    Pendant la seconde guerre, Le Rallic travaille pour la revue bretonne « Olole » (« Gaït », « la Cavalière du Texas », « le Corsaire des Iles », « Les loups de Coatmenez », « la grande et belle Histoire de Bretagne ») et pour « Pierrot ».
    Après 1945, il retrouve son ami Marijac qui lance « Coq-Hardi », c’est le début d’une longue collaboration.
    Avec Marijac comme scénariste, Le Rallic signe l’excellent western « Poncho Libertas » (1945-1948), « le Capitaine Flamberge » (1948-1951), « le Fantôme à l’Eglantine » (1951-1952).
    Il collabore ensuite avec Louis Saurel pour des œuvres historiques jusqu’en 1954, puis dans « Far-West », « Mireille » (1956-1957) et dans « Nano et Nanette » où il terminera sa carrière. Cependant, on le retrouve dans diverses revues et périodiques après-guerre, pour n’en citer que quelques-uns : Cadet-Journal ; Pic & Nic ; Bob & Bobette ; France-Soir Jeudi ; Coquelicot Junior ; Tintin (1947-1955) « l’Intrépide » (avec notamment « FanFan la tulipe »), chez Artima, chez Fleurus , chez « Hurrah ! » et toujours aux éditions Gordinne où il publiera son célèbre « Bernard Chamblet et Yan Keradec ».
    Des problèmes de vue l’obligeant à interrompre son travail, il se retire avec sa femme à Sorel-Moussel. Il s’éteint en 1968.

    LA PRESSE
    EN PARLE

    « Des monstres sacrés exposés à la Galerie Glénat. » LE MONDE

    « Glénat épate la galerie. » ACTUABD