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    Jean-Marc Reiser

    Né en 1941 en Meurthe-et-Moselle, Jean-Marc Reiser arrête ses études à 15 ans, devient apprenti puis travaille 4 ans pour l’enseigne Nicolas. Dessinateur autodidacte, il débute dans de petites revues (dont La gazette de Nectar) en signant Jiem.
    En 1958, il rencontre Cavanna qui le publie dans son journal Les Cordées, puis dans le magazine Hara-Kiri dès sa création en 1960.
    A partir de 1963, il ne signe plus Jiem mais de son nom de famille, Reiser.
    En 1966, il entre au journal Pilote où il collabore avec Gotlib, Alexis, Mézières, Mandryka.
    En mai 68, il dessine dans le journal militant Action, avec Siné et Wolinski.
    Le 16 novembre 1970, Reiser scandalise avec son dessin sur la mort de De Gaulle « Bal tragique à Colombey: 1 mort » et fait interdire Hara Kiri Hebdo : une semaine plus tard, Cavanna et le Professeur Choron créent Charlie Hebdo (« Charlie » serait un hommage à Charles De Gaulle) auquel Reiser collabore jusqu’en 1981.

    Génie de la bande dessinée et du dessin de presse, le trait de Reiser fit mouche dans un grand nombre de revues, pour la plupart contestataires et anticonformistes (Hara-Kiri, Charlie Hebdo, Pilote, La Gueule Ouverte, Charlie Mensuel, Métal Hurlant, L’Écho des savanes…). Reiser croquait les gens ordinaires avec un humour très cru pour l’époque, et souvent avec un mauvais goût assumé, sans jamais s’autocensurer et en riant aussi bien de la misère que de la mort, mais surtout, d’abord et avant tout, de la connerie humaine. Il a reçu le Grand Prix de la Ville d’Angoulême en 1978 pour l’ensemble de son œuvre. Il a disparu prématurément en 1983.

    LA PRESSE
    EN PARLE

    « Des monstres sacrés exposés à la Galerie Glénat. » LE MONDE

    « Glénat épate la galerie. » ACTUABD